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Pensées

Dernière mise à jour : 17 mai 2022




Inspirée


Pomme plantée au pied

De l'arbre érigé, enchanté

J'avance à petits pas feutrés

D'un air déluré

Pour m'arrêter

Et penser :

« Mais que m'est-il arrivé ? ».


-Reprise en main-

Le lendemain

Tout est apparu comme vain

Jusqu'à ce que l'idée me vienne

De partager ma peine.


Il avait les sourcils froncés

Le regard parsemé

Par la peine administrée

Par ses propres pensées.


Un mal être tellement fort

Qu'elle baptisa un fort

Au-dessus d'une surface inexistante

Y mettant âme et corps

En attendant que tout s'évapore.


Univers éphémère

Dans la photosphère.

Poussière de sorcière.

Je parcours la Terre

Les pieds en l'air

Telle une panthère

Appelant ses pairs

Selon un seul critère

Qu'ils airent

Libre comme l'air.


-Journée mouvementée-

La spiritualité au cœur du sujet.

Quelle est son utilité ?

S'arrêter, figé, pour penser ?

A quoi bon ?

-Dans un monde d'ambition il me faut me préoccuper de mes projets.


Tel un lampadaire j'éclaire de ma lumière l'air passager.


Une amie de poubelle

Ma boîte de milles couleurs.

Jusqu'au compost

-Riposte-

A la vue des insectes.

Pour finalement rester sans restes en attendant sa nouvelle heure.

D'ici là,

Un peu de candeur.


Le regard furtif

Je l'aperçois, mon autre moi,

Le saisit

Du bout de mes doigts

Le serre contre moi.

En émoi

Je reste là.

Je me vois vivre de pleine joie.


Amas de coton

Sur un drap bleu

Illuminant le ciel.


Plein pouvoir à mon inconscient.

Visage flasque

Yeux douloureux.

-Réveil


Ventre serré,

Ballonnée

Cerveau enveloppé.

Brume.

Beurk le matin.


Toute la journée

Enfermée.

Délivrée

La nuit s'est réveillée.

Je pars la rencontrer.


D'un regard timide

Émerveillée

Par son propre soit

Elle baissa la tête afin d'apprécier

Son corps voluptueux.


Alors que le monde subi

Pensant qu'il en est ainsi

Mon cœur

Persuadé du contraire

Observe, amer

Ses congénères

Créateurs même

De leur univers.


Avant de partager

Ils se mettent d'accord sur le comment

Et enfin,

Se lâchent pleinement.


Quiétude dans sa longitude

Tumulte d'un aspect hirsute.

Le conscient tente

De tromper mes sens.

J'en oublie que demain

Je vais mourir.

Cette foie aveugle

M'empêche de lâcher prise.

Je m'efforce à tout contrôler

Quand tout est maîtrisé.

-Pensées biaisées-


Game : Marie est dans le métro

Secousses.

Dans les couloirs je ne fais qu'un avec la foule.

Je suis là et pas là.


Quelque chose en moi

Me presse de l'activer,

De le libérer, de le dépenser.

J'essaye de communiquer,

De deviner

Ce qui l'a amené

A se loger

Le bas de mon ventre.

Attendant

Que je presse la détente.

Certains le diabolisent

D'autres l'idéalisent.

Je reste indécise.

L'intention étant

De transformer cette énergie

En vie.


Un ami

Me fit soulever

L'absence de lumière

Censée transcender l'air.


Il est dur de garder son calme

Lorsque le temps

Court plus vite

Que le cours des nos pensées.

On se demande si l'accélérer,

En notre intérieur

Améliorera notre situation si désespérée

Ou bien si

L'on devrait s'en détacher

Puisque de toute manière

Il s'en va

A l'affolé.


Évacuer mes peurs

Les exprimer

Aux gens aimés

Me permet

De me libérer.


Entourée

D'humains

Aujourd'hui et demain

Main dans la main.


Challenge-

Dire au-revoir

A une libido

Quasi non-existante

Revient, étonnement

A la stimuler.


La prise de recul requiert toute ma patience.


Réussir cette épreuve

Et ma self-esteem me remerciera.

Ces symptômes ne me sont pas inconnus.

Comme paralysée par le même flux de pensées

Je tente de me distraire

De cette situation mentale

Précaire

Mon estomac complice

M'adresse ses caprices.


J'ai de la peine pour moi-même.

J'aimerais être sereine et posséder une confiance inébranlable

En moi et tout.

Un recul constant.


Bzou

Mirage pendant une nage.

Je vogue parmi mes ressentis.

J'apprends à apprécier ce moment d'errance.

Je me lance avec appréhension et excitation

Dans mon immense et petit être.

Rien et tout.

Patteàprout.


Entiendo que es, para tú, un momento difícil. Entre el calor, la música demasiado fuerte para tus oídos, las intensas vibraciones que trascienden tu cuerpo, las reuniones en los baños. Momento de soledad y compartir a la vez. No puedes evitar saltar, girar ... Headshot.


Alors que je finissais ma journée,

Je me surpris à verser des larmes.

Conscience-

Toutes mes attaches, mes amours, les sens, les valeurs que je me suis créées n'étaient Qu'illusion.

L'absurdité obstruait mon esprit.

Bouleversée,

Je pris mon carnet et ma toile

Afin d'exprimer l'amour à la fois si réel, si appréciable, plein et inconditionnel que je portais aux autres et que j'appréciais, moi-même, recevoir.

L'amour du Tout est en chacun de nous.

Puisqu'il n'est qu'un.

Je le cherchais.

Je l'ai trouvé.

Il me faut à présent,

Me l'apprivoiser.


Miou.

When the big scheme of things become you.

Then, everything seems possible.

You became the unexpected, the experience itself.

"I" do not exist anymore.

Fucking extraordinary uncertainty. -Lover Cat under cover


Zlap. Oh! Mes pieds sont sur le sol tandis que ce même sol est en superposition avec la Terre.

Du coup, je vole et en même temps pas. Wooo dément.

- La thèse du sol et pas sol, vole et pas vole fut absolument révolutionnaire lors de sa re-découverte. Bouche bae.


Tout change.

Peur du changement.

Mourir et naître.

Telle est la.

Puis.

Peur.

Te démystifie:

Nuage en passage observé

Malgré l'air peu apprécié.


Quand la réponse cherchée

Se cachait derrière l'égo

Pensant qu'il y ait des vérités à déceler

Bien au-delà de mon conscient.


À ma renaissance,

La conscience seulement

Fit son entrée en toute élégance

Vivre pour vivre.


Bleu, jaune, vert

Clignotent.

Du brouillard, elle surgit.


Qui suis-je ?

Je souhaite prendre de la hauteur.

Voler Jusque dans les étoiles.


Cette semaine vivre dans mon corps

A été très étrange.

Comme dans un bad trip

J'ai été anxieuse, triste, désespérée, recroquevillée, fatiguée.

Mon dos s'est décomposé et tendu.

Ma gorge s'est irritée.

Je me suis laissée emporter.

Comme-ci ces états

Avaient raison de moi.

J'ai eu des interactions avec lesquelles j'étais tout sauf confortable.

Calme, sérénité, et confiance en soi étaient des sentiments inexistants.

Quelle puissance l'esprit !


Hier j'ai fait un cauchemar.


Il s'exprime avec grâce.

S'élance et danse.


J'aime beaucoup me balader

Afin de voyager

Mon visuel challengé

Quelques fois habitué

D'autre fois étonné à souhait

Observe les formes et les couleurs.


C'est ainsi que j'ai noté différentes façons,

Plus ou moins efficientes,

Menant à la satisfaction.

Selon ce qu'elles sont,

L'extase provient de leur application.

Mes pensées s'unissent à ce que j'aperçois et ressens.

Le moment est exaltant

Un peu comme ci, le temps se moulait à mes sentiments.

Il suffit d'un instant pour que toute ma perception

Envahit mon être

Et y fait naître,

Un sentiment profond de bien-être.

Le plus souvent cela m'arrive en regardant les étoiles, un arbre, les nuages, les yeux d'un Etre attentionné, un baiser, un corps contre le mien, enlacés...

La liste peut continuer pendant une éternité,

Je pourrais alors ne plus manger, ne plus chier.

-Je vous laisse méditer dessus.


Energie contenue

Dans l'immensité de mon être.


L'air frais stimule mes sens,

Je traverse la cours,

D'un pas intrigué,

Cherchant le beau tout autour de moi.

Il m'ouvre la porte ,

Un peu athlétique,

Je le suis dans l'escalier.

Nous nous arrêtons devant une petite porte

Ouvrant sur le plus délicieux des endroits.

Respirant la chaleur et la vie.

Je m’immisce en son intérieur.

En essayant, tant bien que mal,

de ne pas faire tache parmi cet agréable tableau.

Équilibrant mon énergie

Afin de ne faire qu'un avec l'espace et ses âmes.

Au son mélodieux

Mon oreille frétille

Pétille de plaisir.

Bien consciente qu'il me faut également participer à cette Création,

Seul mon corps souhaite s'exprimer

Moulant l'air autour de lui.

Et ainsi devenir un des caractères du tableau.

Petit à petit, mon esprit dit oui.

S'accorde aux ondes environnantes.

Il me faut alors prendre mon courage à deux mains

Et me décider à partir de cet endroit devenant alors mien.


A la dérive, j'erre dans mon être.


Guitare sur son dos,

Cage à chat en guise de sac de voyage

Il rencontra alors,

Le regard d'un sans abris.

Les mots n'étaient plus nécessaires.

La chaleur échangée.

Le temps figé.


Putain de non-respect.

Tout est fait pour que l'alcool soit adulé

Et l'argent dépensé.

L'humain n'est plus.

L’espoir perdu.

La colère accrue.


Re

Sentiment d'incompréhension,

De décalage.

AGAIN

Les différences dans un semblant d'unité.

Non, non, non.

Merde.


Nouvel an-

Les cœurs battants la chamade,

Une tristesse, profonde, belle et éternelle

Face à cette étendue.

Ébahie,

La peur, le vent.

-Je reste de marbre.


Plus l'attente se fait longue,

Plus le sentiment de peur, de malaise, s'accroît en moi.


Cookiness


Les mains paralysées elle écrit sur son clavier.


Là où commence la vie,

La mort fait son apparition.

Elle ne demande rien.

Seulement tout.

Notre esprit chamboulé par des questions multipliées

Et ne peut s'empêcher de s'acharner.


Suicide-

J'ai tourné mon regard

Vers, ce qui me semblait être,

Une machine en surchauffe

Ou la création d'un feu quelconque.

Il s'agissait, en fait,

D'un humain, d'une âme,

Tirant comme jamais sur sa bien aimée,

Colpe Clope

Caché par la brume alors créée,

Je le regarde bouche bée

Apparaître derrière le flot de fumée.

Celle-ci se dissipant

Comme si rien ne s'était passé.

Coquille empoisonnée.


Symptômes-Arrive à un point où le refoulement,

Pensé si bien enfoui,

S'expose en plein jour.

Sensation désagréable.

A croire que la cause est de nature externe.

Une énergie tellement présente

Qu'elle me donne mal au ventre.

Ma peau commence à me taper la discute,

Mes épaules se contractent comme jamais,

Mon dos s'abandonne.

L'existence d'une échappatoire

Paraît alors inconcevable.

Lumière où es-tu? Qui suis-je? Pourquoi?


Toute motivation m'est hottée.

Celle de vivre, d'apprécier sans culpabiliser,

De travailler d'arrache pied

Sur ces projets qui depuis neuf ans ne m'apportent rien.

Merdouille.


Libre fluidité,

Stagnance en maintenance.

Éclairs par-ci par là.


Miroir au dos

Reflet d'une autre réalité

Parsemée de ???


Allégée dans sa robe d'été

Développé

Embroisé.

Solennelle de son corps charnel.


De l'autre côté,

Echo,

Cris d'émotions,

Porté par le vent, les vagues.

Volonté d'alimenter cette réalité,

De la manier à sa guise,

Telle une fée et sa poudre

Partant en fumée.


Éclairé,

Cinéma improvisé.

Discussion tamisée.

Fumée colorée.


Tout ce à quoi j'attache

Désespérément mon amour,

Mon énergie.

Tout ce pourquoi je me dédis.

Semble parfois tellement absurde

Qu'il ne me reste plus qu'à ne plus bouger et rester.

Jusqu'à ce que je retrouve un sens à toute cette création.


Mourir pour revivre,

Survivre en attendant la mort.

Qu'est ce que vivre quand on est mort?


Tension palpable.

Terrifiée.

Inconfort.

Fort malaise avec mon environnement.

-Quand je souffre de ne plus savoir pourquoi.


La maison n'est pas. Ou du moins n'est plus.


L'introverti se vêtit de son plus beau costume.


Je meurs en mon intérieur-

J'ai mal.

J'ai mal en mon être.

C'en est trop pour mon moi.

Mes sens sont tiraillés, écartelés.

Il me faut lâcher la pression.

Le surmenage me malmène

Je suis en poursuite d'une bulle de confort.

Type cocon en coton.

Un endroit où je pourrais reposer mon corps et mon esprit.

Un lieu de paix, de confiance, d'amour et surtout de sécurité, de compassion et d'acceptation.

Je serais moi-même pleinement.

Oui.

Ces amours n'attendront rien de moi.


Please peace.

-Douleurs dans les profondeurs.


Ventre se rentre,

Ouvre une antre

Dans laquelle j'entre.


La main dessus

Je tente de la saisir de toutes mes forces.

Irrationnelle?

Mon conscient se persuade du contraire.

Inexprimable, inexplicable.

Il, je, nous listons toutes les raisons

Justifiant cet emprisonnement.

Comme-ci, cet acte allait changer toute ma vie.

Le contrôle sur moi-même évaporé.

Je m'en trouvais vide et absorbé.

Putain de pensées.

-Anxiété


Comptée en nombre d'années,

10 ans.

Facile de lui échapper

J'ai préféré ne pas trop me re-questionner à son sujet.

Pourtant je le savais.

Il s'agissait d'une peur agrippant mes tripes comme jamais.

J'ai cru que cela me définissait

Qu'il s'agissait de mon identité.

Jusqu'au jour où je l'ai rencontré chez un être, chez un tout.

Je décidais alors de m'y confronter.

Le plus doucement et tranquillement possible.

Je pensais toutes mes préoccupations pour que tout reste sous mon contrôle.

Seulement à un moment où je commençais à me laisser aller

La panique s'est présentée.

J'ai couru à toute volée me réfugier dans mon temple bien aimé.

Les pensées suicidaires me sont parvenues, la dépression apparue.

Mon corps pétrifié.

L'envie de mourir seule dans mon coin, loin du monde.

Le souhait de tout oublier.

Comme un enfant souhaitant effacer,

De toutes ses forces,

Un instant de honte absolue.

Ici, la honte n'était pas.

Seule cette angoisse ultra puissante.

Tellement, que je suis persuadée de sa raison d'être.

La panique apparaît dès que celle-ci semble ignorée par les autres.

Elle monte petit à petit à la vue de la prise en confiance de l'autre.

Dès que mon esprit ne perçoit plus une once d'hésitation ou de retrait

Il se met à hurler.

Terrifié d'être laissé de côté,

Terrifié à l'idée d'affronter la possibilité que cette peur soit injustifiée, irraisonnée.


Dans une volonté de garder du recul sur mes émotions qui pullulent

J'ai tendance à développer

Des peurs, jalousies et addictions.


Des couleurs mon œil a perçu.

Elles se sont retournées et m'ont regardées,

Le sourire aux lèvres,

Les bras ouverts de bonheur,

De chaleur.


L'endroit chargé d'émotions.

Avec lui près de moi.

Toutes préoccupations s'envolèrent comme des papillons.

Toute mon attention, concentrée sur cette interaction.


Devinette:

It is an object

It does not seem alive

Yet, it makes us alive

- musique, vinyle


Je ne veux pas entendre ton histoire

J'ai la mienne dont j'aimerais en jouir pleinement.


J'ai peur,

J'ai fucking peur de me perdre dans un être.

J'ai fucking peur de sa frustration quand je n'aurais pas répondu à ses attentes.

J'ai peur que mon corps, reflétant mon anxiété, en parti non choisi, ne soit pas appréciable.

J'ai putain de trop peur.

Je ne me sens pas à la hauteur.


Il y a des choses en moi

Que je ne m'avoue pas.

Impossible d'y voir claire dans cet ensemble neuronale.

Je béguais lorsque je dois l'exprimer.

Exprimer quoi?

Même moi je ne le sais pas.


Des mots sortent de ma bouche.

Des mots qui sonnent faux.


Il arrive des moments

Où il est difficile d'identifier ce que je ressens.

Un mélit mélot, une confusion interne.

De la frustration, de la colère, de la tristesse de la peur, de l'incompréhension.

Sentiment de simplitude et de complexité à la fois.


Deux

14

168h

Les peurs se sont emparées

De mon esprit abîmé.

L'extérieur n'est plus supportable.

Mes sens j'aimerais

Éteindre à jamais.

Le diable s'est éveillé

La sécurité et la bonté cachée.

Incapable de lier mes pensées, émotions.

Le tableau n'est que chaos.

Le désir d'une stabilité quelconque est plus fort que jamais.

Plus encore, le désir de me mouvoir sans répondre aux chocs.

De manière à m'y adapter, me transformer sans même que cela incarne un effort en lui-même.

Telle une goutte d'eau se glissant sur une feuille pour tomber sur une épaule et s'y fondre.

L'inconscience.


Est-ce la cause de ces tourments?

L'inconscience la réponse à mes sentiments?


Fleuve étincelant

Mon corps est parcouru

De cette douce lumière

Elle me nourrit de vie

Et je lui dis oui.


Au delà des montagnes

On ne sait ce qui s'y trame

Au dedans tout est vie.

A la fois figé et flux.


Hume les odeurs.

Splendeur de ce qui EST.

Plus proche de ce qui n'est visible.

Une réalité habitée.

Des questions plein le nez.


Qui suis-je?

Ce que je vois, je ne suis pas.

Ce que je sens, je ne suis pas.

Ce que j'entends, je ne suis pas.

Ce que je pense, je ne suis pas.

Qui suis-je?

Ni le corps, ni les sens, ni les pensées- au point de ce demander où "suis-je" cachée.


L'extérieur et l'intérieur n'est pas moi.

Ces deux observations se confondent.

Elles forment un tout indissociable.

Tout est.

Ce qui se rapproche du plus vrai,

C'est apprendre en désapprenant, à vivre pleinement.

Quand la vie seule est incarnée, tout est bousculé.

-Transcendance par l'être.


Pendant les balades

L'environnement discute

Les pierres, les feuilles, les arbres,..

Tout autour des énergies circulent

Elles me nourrissent,

Tellement,

que je pourrai y rester toute la journée,

toute la nuit,...

C'est avec déception qu’il me faut rentrer.


-Mandagout-

Le soleil salue les montagnes chevelues

Une partie la remercie pour la chaleur cotonneuse qu'elle diffuse

Les nuages l'accompagnent dans son voyage,

L'irréalité voit son cycle se perpétuer.

Dans ce rêve entier

Déguisée d'un corps

Avec le dehors.


L'identification à ses pensées

Aussi hilarante que toutes technologies,

Enferme,

Clac.


Des picotements de lumières

Blanches qui s'en vont et reviennebt.

Qui cachent et qui révèlent.

La végétation danse.

Le paysage en trance.


Merci,


- Marie Mazeau professeure de Yoga sur Paris et à l'international. Guidance avec douceur et Joie.

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