Inspirée
Pomme plantée au pied
De l'arbre érigé, enchanté
J'avance à petits pas feutrés
D'un air déluré
Pour m'arrêter
Et penser :
« Mais que m'est-il arrivé ? ».
-Reprise en main-
Le lendemain
Tout est apparu comme vain
Jusqu'à ce que l'idée me vienne
De partager ma peine.
Il avait les sourcils froncés
Le regard parsemé
Par la peine administrée
Par ses propres pensées.
Un mal être tellement fort
Qu'elle baptisa un fort
Au-dessus d'une surface inexistante
Y mettant âme et corps
En attendant que tout s'évapore.
Univers éphémère
Dans la photosphère.
Poussière de sorcière.
Je parcours la Terre
Les pieds en l'air
Telle une panthère
Appelant ses pairs
Selon un seul critère
Qu'ils airent
Libre comme l'air.
-Journée mouvementée-
La spiritualité au cœur du sujet.
Quelle est son utilité ?
S'arrêter, figé, pour penser ?
A quoi bon ?
-Dans un monde d'ambition il me faut me préoccuper de mes projets.
Tel un lampadaire j'éclaire de ma lumière l'air passager.
Une amie de poubelle
Ma boîte de milles couleurs.
Jusqu'au compost
-Riposte-
A la vue des insectes.
Pour finalement rester sans restes en attendant sa nouvelle heure.
D'ici là,
Un peu de candeur.
Le regard furtif
Je l'aperçois, mon autre moi,
Le saisit
Du bout de mes doigts
Le serre contre moi.
En émoi
Je reste là.
Je me vois vivre de pleine joie.
Amas de coton
Sur un drap bleu
Illuminant le ciel.
Plein pouvoir à mon inconscient.
Visage flasque
Yeux douloureux.
-Réveil
Ventre serré,
Ballonnée
Cerveau enveloppé.
Brume.
Beurk le matin.
Toute la journée
Enfermée.
Délivrée
La nuit s'est réveillée.
Je pars la rencontrer.
D'un regard timide
Émerveillée
Par son propre soit
Elle baissa la tête afin d'apprécier
Son corps voluptueux.
Alors que le monde subi
Pensant qu'il en est ainsi
Mon cœur
Persuadé du contraire
Observe, amer
Ses congénères
Créateurs même
De leur univers.
Avant de partager
Ils se mettent d'accord sur le comment
Et enfin,
Se lâchent pleinement.
Quiétude dans sa longitude
Tumulte d'un aspect hirsute.
Le conscient tente
De tromper mes sens.
J'en oublie que demain
Je vais mourir.
Cette foie aveugle
M'empêche de lâcher prise.
Je m'efforce à tout contrôler
Quand tout est maîtrisé.
-Pensées biaisées-
Game : Marie est dans le métro
Secousses.
Dans les couloirs je ne fais qu'un avec la foule.
Je suis là et pas là.
Quelque chose en moi
Me presse de l'activer,
De le libérer, de le dépenser.
J'essaye de communiquer,
De deviner
Ce qui l'a amené
A se loger
Le bas de mon ventre.
Attendant
Que je presse la détente.
Certains le diabolisent
D'autres l'idéalisent.
Je reste indécise.
L'intention étant
De transformer cette énergie
En vie.
Un ami
Me fit soulever
L'absence de lumière
Censée transcender l'air.
Il est dur de garder son calme
Lorsque le temps
Court plus vite
Que le cours des nos pensées.
On se demande si l'accélérer,
En notre intérieur
Améliorera notre situation si désespérée
Ou bien si
L'on devrait s'en détacher
Puisque de toute manière
Il s'en va
A l'affolé.
Évacuer mes peurs
Les exprimer
Aux gens aimés
Me permet
De me libérer.
Entourée
D'humains
Aujourd'hui et demain
Main dans la main.
Challenge-
Dire au-revoir
A une libido
Quasi non-existante
Revient, étonnement
A la stimuler.
La prise de recul requiert toute ma patience.
Réussir cette épreuve
Et ma self-esteem me remerciera.
Ces symptômes ne me sont pas inconnus.
Comme paralysée par le même flux de pensées
Je tente de me distraire
De cette situation mentale
Précaire
Mon estomac complice
M'adresse ses caprices.
J'ai de la peine pour moi-même.
J'aimerais être sereine et posséder une confiance inébranlable
En moi et tout.
Un recul constant.
Bzou
Mirage pendant une nage.
Je vogue parmi mes ressentis.
J'apprends à apprécier ce moment d'errance.
Je me lance avec appréhension et excitation
Dans mon immense et petit être.
Rien et tout.
Patteàprout.
Entiendo que es, para tú, un momento difícil. Entre el calor, la música demasiado fuerte para tus oídos, las intensas vibraciones que trascienden tu cuerpo, las reuniones en los baños. Momento de soledad y compartir a la vez. No puedes evitar saltar, girar ... Headshot.
Alors que je finissais ma journée,
Je me surpris à verser des larmes.
Conscience-
Toutes mes attaches, mes amours, les sens, les valeurs que je me suis créées n'étaient Qu'illusion.
L'absurdité obstruait mon esprit.
Bouleversée,
Je pris mon carnet et ma toile
Afin d'exprimer l'amour à la fois si réel, si appréciable, plein et inconditionnel que je portais aux autres et que j'appréciais, moi-même, recevoir.
L'amour du Tout est en chacun de nous.
Puisqu'il n'est qu'un.
Je le cherchais.
Je l'ai trouvé.
Il me faut à présent,
Me l'apprivoiser.
Miou.
When the big scheme of things become you.
Then, everything seems possible.
You became the unexpected, the experience itself.
"I" do not exist anymore.
Fucking extraordinary uncertainty. -Lover Cat under cover
Zlap. Oh! Mes pieds sont sur le sol tandis que ce même sol est en superposition avec la Terre.
Du coup, je vole et en même temps pas. Wooo dément.
- La thèse du sol et pas sol, vole et pas vole fut absolument révolutionnaire lors de sa re-découverte. Bouche bae.
Tout change.
Peur du changement.
Mourir et naître.
Telle est la.
Puis.
Peur.
Te démystifie:
Nuage en passage observé
Malgré l'air peu apprécié.
Quand la réponse cherchée
Se cachait derrière l'égo
Pensant qu'il y ait des vérités à déceler
Bien au-delà de mon conscient.
À ma renaissance,
La conscience seulement
Fit son entrée en toute élégance
Vivre pour vivre.
Bleu, jaune, vert
Clignotent.
Du brouillard, elle surgit.
Qui suis-je ?
Je souhaite prendre de la hauteur.
Voler Jusque dans les étoiles.
Cette semaine vivre dans mon corps
A été très étrange.
Comme dans un bad trip
J'ai été anxieuse, triste, désespérée, recroquevillée, fatiguée.
Mon dos s'est décomposé et tendu.
Ma gorge s'est irritée.
Je me suis laissée emporter.
Comme-ci ces états
Avaient raison de moi.
J'ai eu des interactions avec lesquelles j'étais tout sauf confortable.
Calme, sérénité, et confiance en soi étaient des sentiments inexistants.
Quelle puissance l'esprit !
Hier j'ai fait un cauchemar.
Il s'exprime avec grâce.
S'élance et danse.
J'aime beaucoup me balader
Afin de voyager
Mon visuel challengé
Quelques fois habitué
D'autre fois étonné à souhait
Observe les formes et les couleurs.
C'est ainsi que j'ai noté différentes façons,
Plus ou moins efficientes,
Menant à la satisfaction.
Selon ce qu'elles sont,
L'extase provient de leur application.
Mes pensées s'unissent à ce que j'aperçois et ressens.
Le moment est exaltant
Un peu comme ci, le temps se moulait à mes sentiments.
Il suffit d'un instant pour que toute ma perception
Envahit mon être
Et y fait naître,
Un sentiment profond de bien-être.
Le plus souvent cela m'arrive en regardant les étoiles, un arbre, les nuages, les yeux d'un Etre attentionné, un baiser, un corps contre le mien, enlacés...
La liste peut continuer pendant une éternité,
Je pourrais alors ne plus manger, ne plus chier.
-Je vous laisse méditer dessus.
Energie contenue
Dans l'immensité de mon être.
L'air frais stimule mes sens,
Je traverse la cours,
D'un pas intrigué,
Cherchant le beau tout autour de moi.
Il m'ouvre la porte ,
Un peu athlétique,
Je le suis dans l'escalier.
Nous nous arrêtons devant une petite porte
Ouvrant sur le plus délicieux des endroits.
Respirant la chaleur et la vie.
Je m’immisce en son intérieur.
En essayant, tant bien que mal,
de ne pas faire tache parmi cet agréable tableau.
Équilibrant mon énergie
Afin de ne faire qu'un avec l'espace et ses âmes.
Au son mélodieux
Mon oreille frétille
Pétille de plaisir.
Bien consciente qu'il me faut également participer à cette Création,
Seul mon corps souhaite s'exprimer
Moulant l'air autour de lui.
Et ainsi devenir un des caractères du tableau.
Petit à petit, mon esprit dit oui.
S'accorde aux ondes environnantes.
Il me faut alors prendre mon courage à deux mains
Et me décider à partir de cet endroit devenant alors mien.
A la dérive, j'erre dans mon être.
Guitare sur son dos,
Cage à chat en guise de sac de voyage
Il rencontra alors,
Le regard d'un sans abris.
Les mots n'étaient plus nécessaires.
La chaleur échangée.
Le temps figé.
Putain de non-respect.
Tout est fait pour que l'alcool soit adulé
Et l'argent dépensé.
L'humain n'est plus.
L’espoir perdu.
La colère accrue.
Re
Sentiment d'incompréhension,
De décalage.
AGAIN
Les différences dans un semblant d'unité.
Non, non, non.
Merde.
Nouvel an-
Les cœurs battants la chamade,
Une tristesse, profonde, belle et éternelle
Face à cette étendue.
Ébahie,
La peur, le vent.
-Je reste de marbre.
Plus l'attente se fait longue,
Plus le sentiment de peur, de malaise, s'accroît en moi.
Cookiness
Les mains paralysées elle écrit sur son clavier.
Là où commence la vie,
La mort fait son apparition.
Elle ne demande rien.
Seulement tout.
Notre esprit chamboulé par des questions multipliées
Et ne peut s'empêcher de s'acharner.
Suicide-
J'ai tourné mon regard
Vers, ce qui me semblait être,
Une machine en surchauffe
Ou la création d'un feu quelconque.
Il s'agissait, en fait,
D'un humain, d'une âme,
Tirant comme jamais sur sa bien aimée,
Colpe Clope
Caché par la brume alors créée,
Je le regarde bouche bée
Apparaître derrière le flot de fumée.
Celle-ci se dissipant
Comme si rien ne s'était passé.
Coquille empoisonnée.
Symptômes-Arrive à un point où le refoulement,
Pensé si bien enfoui,
S'expose en plein jour.
Sensation désagréable.
A croire que la cause est de nature externe.
Une énergie tellement présente
Qu'elle me donne mal au ventre.
Ma peau commence à me taper la discute,
Mes épaules se contractent comme jamais,
Mon dos s'abandonne.
L'existence d'une échappatoire
Paraît alors inconcevable.
Lumière où es-tu? Qui suis-je? Pourquoi?
Toute motivation m'est hottée.
Celle de vivre, d'apprécier sans culpabiliser,
De travailler d'arrache pied
Sur ces projets qui depuis neuf ans ne m'apportent rien.
Merdouille.
Libre fluidité,
Stagnance en maintenance.
Éclairs par-ci par là.
Miroir au dos
Reflet d'une autre réalité
Parsemée de ???
Allégée dans sa robe d'été
Développé
Embroisé.
Solennelle de son corps charnel.
De l'autre côté,
Echo,
Cris d'émotions,
Porté par le vent, les vagues.
Volonté d'alimenter cette réalité,
De la manier à sa guise,
Telle une fée et sa poudre
Partant en fumée.
Éclairé,
Cinéma improvisé.
Discussion tamisée.
Fumée colorée.
Tout ce à quoi j'attache
Désespérément mon amour,
Mon énergie.
Tout ce pourquoi je me dédis.
Semble parfois tellement absurde
Qu'il ne me reste plus qu'à ne plus bouger et rester.
Jusqu'à ce que je retrouve un sens à toute cette création.
Mourir pour revivre,
Survivre en attendant la mort.
Qu'est ce que vivre quand on est mort?
Tension palpable.
Terrifiée.
Inconfort.
Fort malaise avec mon environnement.
-Quand je souffre de ne plus savoir pourquoi.
La maison n'est pas. Ou du moins n'est plus.
L'introverti se vêtit de son plus beau costume.
Je meurs en mon intérieur-
J'ai mal.
J'ai mal en mon être.
C'en est trop pour mon moi.
Mes sens sont tiraillés, écartelés.
Il me faut lâcher la pression.
Le surmenage me malmène
Je suis en poursuite d'une bulle de confort.
Type cocon en coton.
Un endroit où je pourrais reposer mon corps et mon esprit.
Un lieu de paix, de confiance, d'amour et surtout de sécurité, de compassion et d'acceptation.
Je serais moi-même pleinement.
Oui.
Ces amours n'attendront rien de moi.
Please peace.
-Douleurs dans les profondeurs.
Ventre se rentre,
Ouvre une antre
Dans laquelle j'entre.
La main dessus
Je tente de la saisir de toutes mes forces.
Irrationnelle?
Mon conscient se persuade du contraire.
Inexprimable, inexplicable.
Il, je, nous listons toutes les raisons
Justifiant cet emprisonnement.
Comme-ci, cet acte allait changer toute ma vie.
Le contrôle sur moi-même évaporé.
Je m'en trouvais vide et absorbé.
Putain de pensées.
-Anxiété
Comptée en nombre d'années,
10 ans.
Facile de lui échapper
J'ai préféré ne pas trop me re-questionner à son sujet.
Pourtant je le savais.
Il s'agissait d'une peur agrippant mes tripes comme jamais.
J'ai cru que cela me définissait
Qu'il s'agissait de mon identité.
Jusqu'au jour où je l'ai rencontré chez un être, chez un tout.
Je décidais alors de m'y confronter.
Le plus doucement et tranquillement possible.
Je pensais toutes mes préoccupations pour que tout reste sous mon contrôle.
Seulement à un moment où je commençais à me laisser aller
La panique s'est présentée.
J'ai couru à toute volée me réfugier dans mon temple bien aimé.
Les pensées suicidaires me sont parvenues, la dépression apparue.
Mon corps pétrifié.
L'envie de mourir seule dans mon coin, loin du monde.
Le souhait de tout oublier.
Comme un enfant souhaitant effacer,
De toutes ses forces,
Un instant de honte absolue.
Ici, la honte n'était pas.
Seule cette angoisse ultra puissante.
Tellement, que je suis persuadée de sa raison d'être.
La panique apparaît dès que celle-ci semble ignorée par les autres.
Elle monte petit à petit à la vue de la prise en confiance de l'autre.
Dès que mon esprit ne perçoit plus une once d'hésitation ou de retrait
Il se met à hurler.
Terrifié d'être laissé de côté,
Terrifié à l'idée d'affronter la possibilité que cette peur soit injustifiée, irraisonnée.
Dans une volonté de garder du recul sur mes émotions qui pullulent
J'ai tendance à développer
Des peurs, jalousies et addictions.
Des couleurs mon œil a perçu.
Elles se sont retournées et m'ont regardées,
Le sourire aux lèvres,
Les bras ouverts de bonheur,
De chaleur.
L'endroit chargé d'émotions.
Avec lui près de moi.
Toutes préoccupations s'envolèrent comme des papillons.
Toute mon attention, concentrée sur cette interaction.
Devinette:
It is an object
It does not seem alive
Yet, it makes us alive
- musique, vinyle
Je ne veux pas entendre ton histoire
J'ai la mienne dont j'aimerais en jouir pleinement.
J'ai peur,
J'ai fucking peur de me perdre dans un être.
J'ai fucking peur de sa frustration quand je n'aurais pas répondu à ses attentes.
J'ai peur que mon corps, reflétant mon anxiété, en parti non choisi, ne soit pas appréciable.
J'ai putain de trop peur.
Je ne me sens pas à la hauteur.
Il y a des choses en moi
Que je ne m'avoue pas.
Impossible d'y voir claire dans cet ensemble neuronale.
Je béguais lorsque je dois l'exprimer.
Exprimer quoi?
Même moi je ne le sais pas.
Des mots sortent de ma bouche.
Des mots qui sonnent faux.
Il arrive des moments
Où il est difficile d'identifier ce que je ressens.
Un mélit mélot, une confusion interne.
De la frustration, de la colère, de la tristesse de la peur, de l'incompréhension.
Sentiment de simplitude et de complexité à la fois.
Deux
14
168h
Les peurs se sont emparées
De mon esprit abîmé.
L'extérieur n'est plus supportable.
Mes sens j'aimerais
Éteindre à jamais.
Le diable s'est éveillé
La sécurité et la bonté cachée.
Incapable de lier mes pensées, émotions.
Le tableau n'est que chaos.
Le désir d'une stabilité quelconque est plus fort que jamais.
Plus encore, le désir de me mouvoir sans répondre aux chocs.
De manière à m'y adapter, me transformer sans même que cela incarne un effort en lui-même.
Telle une goutte d'eau se glissant sur une feuille pour tomber sur une épaule et s'y fondre.
L'inconscience.
Est-ce la cause de ces tourments?
L'inconscience la réponse à mes sentiments?
Fleuve étincelant
Mon corps est parcouru
De cette douce lumière
Elle me nourrit de vie
Et je lui dis oui.
Au delà des montagnes
On ne sait ce qui s'y trame
Au dedans tout est vie.
A la fois figé et flux.
Hume les odeurs.
Splendeur de ce qui EST.
Plus proche de ce qui n'est visible.
Une réalité habitée.
Des questions plein le nez.
Qui suis-je?
Ce que je vois, je ne suis pas.
Ce que je sens, je ne suis pas.
Ce que j'entends, je ne suis pas.
Ce que je pense, je ne suis pas.
Qui suis-je?
Ni le corps, ni les sens, ni les pensées- au point de ce demander où "suis-je" cachée.
L'extérieur et l'intérieur n'est pas moi.
Ces deux observations se confondent.
Elles forment un tout indissociable.
Tout est.
Ce qui se rapproche du plus vrai,
C'est apprendre en désapprenant, à vivre pleinement.
Quand la vie seule est incarnée, tout est bousculé.
-Transcendance par l'être.
Pendant les balades
L'environnement discute
Les pierres, les feuilles, les arbres,..
Tout autour des énergies circulent
Elles me nourrissent,
Tellement,
que je pourrai y rester toute la journée,
toute la nuit,...
C'est avec déception qu’il me faut rentrer.
-Mandagout-
Le soleil salue les montagnes chevelues
Une partie la remercie pour la chaleur cotonneuse qu'elle diffuse
Les nuages l'accompagnent dans son voyage,
L'irréalité voit son cycle se perpétuer.
Dans ce rêve entier
Déguisée d'un corps
Avec le dehors.
L'identification à ses pensées
Aussi hilarante que toutes technologies,
Enferme,
Clac.
Des picotements de lumières
Blanches qui s'en vont et reviennebt.
Qui cachent et qui révèlent.
La végétation danse.
Le paysage en trance.
Merci,
- Marie Mazeau professeure de Yoga sur Paris et à l'international. Guidance avec douceur et Joie.
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