Did you already felt what music and dance can release in you ?

Contexte
“Music is something quite extraordinary. It moves the air, tingles your ears. An entire environment is created. Emotions change, everything vibrate at a certain frequency. And damn it is orgasmic”
Poèmes- soirées:
Lorsque l’adrénaline vous prend,
On ne comprend plus
Le pourquoi du comment
On rit, vous vivez,
Motivés
Par on ne sait trop quoi.
----Pas de quoi----
Everybody dance
With the lights going throw their bodies
And music inside their ears.
They only want to live throw it,
To do one with the rhythm.
At the end it is quite powerful.
La nuit,
Pas vraiment,
A Paris.
La musique
Plein le corps
Les lumières!
Je perds mes repères!
L'envie me prend
-de danser
Tant qu'à surprendre
-de me laisser
Porter et rentrer
En trance
Parmi ce vide
Et ce plein.
La soirée:
Les lumières installées
Une règle de fêtards oubliée
À l'heure tu es arrivée
La danse
Ne commence
Que quatre heures après.
-Ambiance particulière
L'énergie employée dans les soirées
Est à requestionner.
Est-il pionnier
Que d'user
D'autant d'effets?
Dans les villes
Un rêve éveillé
Est désormais possible.
Des ombres se rencontrent.
-point de rassemblement
Espace de sons,
De lumières,
D'énergies, de sourires
A l'unisson
Presque dans l'euphorie
Côte à côte
-Orgie collective
Main dans la main
Contact-sable
Musique enclenchée
-embrassé, baisé-
Orgie étant appréciée
Le boom boom
Rythme nos pieds.
Les dérivées
Guident nos pensées.
L'idée est de s'éclater
Jusqu'à ne plus pouvoir bouger.
C'est la Holé,
Mon cœur est affolé
Mon corps ne pense qu'à vibrer
Jusqu'à ne plus penser.
Brume de couleurs
Violet, bleu, vert
Se propageant au-dessus d'une plage
De gens en naufrages.
Par delà les mondes
Celui de la nuit
En est un bien particulier
On y vient pour danser, draguer, oublier
S'anesthésier le corps et l'esprit,
Voyager.
Tenez-vous bien à votre siège
Ouvrez grand vos paupières
Vous y verrez ce que vous voulez.
Laissez-vous guider par ce tintamarre
Émerveiller par les flux de lumières.
Sentez que vous ne faites qu'un
Vos pieds bien ancrés.
Respirez comme si l'air
Était un mets des plus délectant.
De regard à regard,
Leurs instruments en mains
Silence dans le bruit.
D'un accord mutuel
Air transformé,
Manipulé.
Environnement bouleversé.
Quel plaisant spectacle!
Où sont les sièges
Que je contemple ces mains s'agitant contre les touches?
Faisant vibrer les cordes
de cet objet
tant adulé par la foule qui roucoule.
Des étoiles
Par delà les mers
Dans cet espace,
Ou plutôt, palace.
On se croirait voleter parmi les planètes.
Tel Rick et Morty.
Je ferme mes yeux
Et laisse mon corps
Se mouler aux sons qui l'entoure.
Tape Tape.
La pièce joliment décorée
De guirlandes de lumières
Empêtrées parmi les toiles d'araignées.
Les bougies et étincelles
Circulent de mains en mains,
D'âmes en âmes.
La formule est donnée
Et promet une délicieuse soirée.
Transcendant l'air,
Ils s'embrassent à n'en plus finir.
Dans le brouhaha
Environnement naturel
Où l'oxygène n'est plus.
L'envie de figer cette image...
Au son de la flûte.
Résonance,
Transcendance
Claps, Claps, Claps,
Zoubi, Zoubi.
Les pieds presque statiques
Le corps tente de se mêler à l'environnement,
Tout sauf naturel.
Dance, solo mémento.
Couple colé'sérré
Main sur ce corps tant désiré,
-Apprécié.
Ils sortent du lot.
Leurs corps moovent sans pareil.
Bleu néon cocon.
Il n'est pas si tard,
On danse tous unis
Exprimant ce qui d'habitude ne peut se traduire par les mots.
Assis, debout.
Des fleurs dansant parmi les chants.
Certaines s’entre-touchant,
D'autres se rencontrant du regard.
Déployant leur lumière dans la pénombre.
Dans le trop ou le pas assez.
Berce mon cœur,
Volette et gambette in the air.
Au rythme monotone.
Vivacité, intemporalité,
Lancée de pieds.
Applaudissements dansants,
Saisissants.
Encourageants.
Zombis de couleurs.
Bleus, rose, rouge,
Variation de tonalités,
D’éthnicités.
Espace de conspiration,
Inhalation.
Lieu organisé
Ils se sont retrouvés
Tamisés.
Fumée en plein nez.
Petite lampe éclairée
Sur les gens éclatés.
Innés
Casquette sur le nez.
Amis retrouvés.
éééééééé- la poétesse quoi-
Quand l'air est venu à manquer
Blessée, fatiguée, irritée
Un lieu sorti de contes de fées.
D'une âme enjouée accueillait du jazz à pleines oreilles.
Entre ces murs glacés
Voyageait la foule animée
D'humains transcendés.
Super power-
De son arme fatale
Rouge sang
Il jouit au son de son instrument.
A ses côtés
L'homme au djembé
D'un air enjoué
Admire la foule danser.
A ses côtés
De ses mains articulées
Tape tape de ses pieds
Enjaillé sur le clavier
Transpercent l'air
de ses vibrations
Voyageant jusqu'aux corps de chacun
Pour n'y faire qu'un
-Arme fatale se déploie en rafale.
La salle touchée, enivrée
Transportée
Endiablée
Gesticule jusqu'à en perdre la boule.
Scène-
Tourbillon d'humains
Volant pieds à terre.
L'air au bout des doigts
Ils vibrent au rythme de la vie.
Les couleurs s'entremêlent
Les sourires se réveillent.
Pour ne former qu'un tout enivré.
Merci
- Marie Mazeau professeure de Yoga sur Paris et à l'international. Guidance avec douceur et Joie.
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